Rénovation de parquet : faut-il réparer, poncer ou remplacer ?
Avec le temps, même le plus beau des parquets peut perdre de son éclat. Rayures, taches, lames abîmées… pas de panique ! Il existe plusieurs solutions avant d’envisager un remplacement complet. Encore faut-il savoir laquelle est la plus adaptée.
Si seules quelques lames sont endommagées, la réparation locale est souvent suffisante. Un artisan menuisier pourra remplacer les pièces concernées en conservant l’esthétique d’ensemble. C’est une solution économique et rapide.
Lorsque l’ensemble du parquet semble terne ou fatigué, un bon ponçage permet de lui redonner vie. Couplé à une vitrification ou une huilage, il offre une deuxième jeunesse à votre sol. C’est la solution idéale quand le bois est encore sain.
Enfin, si le parquet est trop abîmé, déformé ou ne correspond plus à vos goûts, le remplacement total peut s’imposer. L’avantage ? Vous repartez sur une base solide, durable, et qui correspond parfaitement à votre intérieur.
Chez SAMAB Menuiserie, nous commençons toujours par un diagnostic personnalisé. Notre objectif : vous proposer la solution la plus pertinente, à la fois esthétique, durable et adaptée à votre budget.
Le parquet, c’est un élément central de votre maison. Ne le laissez pas s’abîmer inutilement. Faites confiance à notre savoir-faire pour lui redonner toute sa valeur !
FAQ
Combien de temps dure un ponçage de parquet ?
Comptez 1 à 2 jours selon la surface et les finitions choisies. Chez SAMAB, nous planifions les travaux pour gêner le moins possible votre quotidien.
Est-ce possible sur un parquet ancien ?
Oui, tant que le bois n’est pas trop usé. Certains parquets anciens ont même un cachet exceptionnel qu’il vaut mieux rénover plutôt que remplacer.
Peut-on changer la teinte du parquet ?
Absolument ! Après ponçage, vous pouvez opter pour une huile ou une teinte plus claire ou plus foncée selon vos envies.
Vous intervenez aussi pour les professionnels ?
Oui, nous rénovons également les parquets de bureaux, magasins ou salles de réunion.
